Réceptionniste dans un palace au Monténégro, une expérience inoubliable

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Parmi tous ces pays que tu as visité, lequel tu as préféré ?

Cette question est l’une des questions que toutes les voyageuses, tous les voyageurs entendent de nombreuses fois au cours de leur vie.

« Oui, et où est le problème ? » direz-vous …

Le problème c’est qu’il est incroyablement difficile de répondre à cette question ! Chaque pays possède ses trésors culturels, ses paysages splendides que l’on découvre au détour d’un chemin de randonnée, ses avantages que l’on ne perçoit que si l’on s’y installe quelques mois voire quelques années.

Au delà de ça, chaque voyage est unique car notre tempérament, nos expériences passées, l’état d’esprit dans lequel nous sommes lorsque nous découvrons un pays mais aussi les gens avec qui nous voyageons conditionnent la perception que nous aurons du pays en question.

Bien sûr, nous avons tous nos préférences, nombreux sont les voyageurs qui développent un lien très fort avec un ou plusieurs pays (l’Italie, l’Inde, l’Irlande pour ma part).

D’un autre côté, n’avez-vous jamais été déçu(e) en découvrant une ville que « tout le monde » avait adoré ? À l’inverse, n’avez-vous pas été ravi(e) en sortant ne serait-ce qu’un minimum des sentiers battus ? La société de consommation fait qu’il est devenu important de voyager, de voyager pour pouvoir dire « j’ai été là ». Chaque année, de nouveaux pays attirent les touristes par millions ; il s’agit d’un tourisme de mode.

Au fond, en excluant les nombreux côtés néfastes du tourisme de masse (la pollution, la perte de certaines traditions …) on arrive tout de même à prendre conscience des aspects positifs qui en ressortent ; les prix des billets d’avion qui diminuent et permettent au plus grand nombre de découvrir le monde, les emplois générés par ces flux de touristes etc … (découvrez mon guide pour payer moins cher vos billets d’avion et de train)

Le tourisme de masse est un sujet qui mériterait un article à lui tout seul mais revenons en à nos

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Quelques amis irlandais à qui je rends visite chaque année

S’il m’est impossible de répondre à la question évoquée en introduction, je peux en revanche partager avec vous une expérience qui m’a particulièrement marqué, cette expérience, c’est …

— MON EXPÉRIENCE AU MONTÉNÉGRO —

Tout commence en 2014, l’année de mes 19 ans. Un âge où la frontière entre adolescence et vie adulte commence lentement à s’effacer (notez que je n’écris pas « un âge où tout est possible » car je suis persuadé que tout est toujours possible dans la vie).

En cette année 2014 je suis étudiant en 1ère année de BTS Tourisme. Cette formation, très professionnalisante, exige que chaque étudiant suive un stage de deux mois en France ou à l’étranger.

Pour nous donner une vision réelle du monde du tourisme, mon établissement décide de nous faire rencontrer des professionnels de tous horizons. Un jour, nous avons eu la chance d’assister à une conférence sur le Monténégro et ses attraits touristiques. Cette conférence était donnée par quelqu’un de haut placé à l’office du tourisme national du pays (le Monténégro tout entier est plus petit que la Bretagne).

Pour ceux d’entre vous qui ne situent pas le Monténégro (allez je vous l’avoue, je n’avais aucune idée de l’emplacement géographique de ce pays avant d’y mettre les pieds), le Monténégro c’est juste là : le petit pays en jaune à quelques kilomètres de la Croatie.

carte_europe-monténegro

 

Plus j’écoutais l’intervenant parler de la culture de son pays, plus je m’émerveillais devant les photos de paysages qu’il présentait, plus je pensais : « c’est là que j’irai ! ».

Restait encore à préciser le « là ».

À l’époque, j’avais déjà travaillé comme réceptionniste dans des hôtels 2,3,4 * mais jamais dans un palace.

Quelques recherches me permettent de découvrir un établissement de rêve fréquenté par de nombreuses célébrités : AMAN RESORT SVETI STEFAN.

Je décide de demander à mon interlocuteur s’il accepterait de transmettre mon CV et d’appuyer ma candidature.

Quelques mois plus tard, je reçois un mail m’annonçant la bonne nouvelle, ma candidature a été retenue et je peux bel et bien m’envoler pour cette aventure ; une aventure humaine et professionnelle sans précédent.

C’est ainsi que fin avril 2014, après avoir lu un résumé de l’histoire du pays, étudié sa géographie, et appris quelques mots de Monténégrin (évolution du Serbe), je m’envole avec Montenegro airlines, direction Podgorica (la capitale).

montenegro airlines

L’avion qui dessert ma destination est le plus vieil avion dans lequel j’ai embarqué, les hôtesses et steward ne parlent que Serbe, nous sommes à peine une quinzaine à bord, c’est pour le moins surprenant.

Le Monténégro fait partie des pays les plus pauvres d’Europe, il était encore en guerre contre la Croatie en 1994 (il s’agissait de la Serbie à l’époque, l’indépendance du Monténégro et de la Serbie ont été votées plus tardivement). Les conversations que j’ai eues avec des Serbes et des Croates m’ont fait comprendre qu’une certaine animosité entre plusieurs populations était encore prégnante dans les Balkans. Jusque dans les années 1980, l’ex Yougoslavie (la Macédoine, la Bosnie-Herzégovine,le Kosovo, la Serbie et l’actuel Monténégro) était gouvernée par un dictateur communiste du nom de Tito.

La situation politico-économique du pays fait que ses jeunes ressortissants partent vivre à l’étranger dès que possible.

C’est le tourisme de luxe (soutenu par des millionnaires Russes et Chinois) qui redonne un élan à ce pays qui a bien des richesses à partager avec ses visiteurs ; tant sur le plan culturel que géologique. Depuis quelques années, la destination s’ouvre aussi au tourisme traditionnel. Que ce soit pour aller escalader ses montagnes, faire du rafting, vous détendre sur des plages de rêves ou visiter les musées d’archéologie, je ne peux que vous recommander d’aller faire un tour dans ce pays particulier.

En arrivant je remarque avec amusement à quel point l’aéroport est petit (une seule piste, une seule salle pour récupérer vos valises, un petit bâtiment qui regroupe les comptoirs, les contrôles de sécurité, les salles d’embarquement).

 

 

Me voilà arrivé, je ne m’en doute pas encore mais c’est ici que débute une des expériences qui m’a le plus appris sur moi même.

Je retrouve mon contact, le salue, monte dans sa voiture et entame la discussion tandis que les paysages défilent autour de nous. Il fait une chaleur étouffante.

Au bout d’une heure de route, notre voiture s’arrête et mon ami me dit : « regarde en bas, tu vois cette magnifique île ? c’est une île privée et ce sera ton lieu de travail pour les deux prochains mois ». Je n’en crois pas mes yeux

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Je disposais de trois jours avant de commencer le travail. J’ai décidé de les mettre à profit pour m’installer, explorer les environs, rencontrer une partie de mes cent-cinquante collègues et prendre rendez-vous avec la couturière du personnel pour me faire coudre un uniforme sur mesure.

uniforme_svetistefan

Mon travail promettait de se passer dans un cadre on ne peut plus idyllique, il m’arrive d’ailleurs encore d’en rêver.

Mon logement en revanche ne correspondait pas aux mêmes critères de luxe ; loin de là.

J’étais arrivé dans un pays où les travailleurs les plus chanceux pouvaient espérer toucher 120 à 150 € par mois …

J’ai été logé de la même manière qu’eux (et tant mieux, même si cela a été difficile, c’est aussi ce qui m’a permis de mieux m’intégrer).

Une image vaut mieux que mille mots, chaque jour ou chaque nuit (selon mes horaires), je passais de ça :

 

 

à … ça (un immeuble vétuste, tombant en ruines, une succession de dortoirs où nous dormions à 15 sachant que nos horaires différaient, des murs moisis, des trous dans les murs, des rats dans les chambres etc) NB : les trous dans le plafond m’ont permis de me faire un ami supplémentaire 😄

 

Dans ma chambre, en dehors du lit, je disposais d’un seul objet, un étendoir à linge. Autant vous dire que je lui ai trouvé de nombreuses utilisations. Avec un peu d’imagination, un étendoir peut aussi servir de table, de bureau, d’étagère – « regarde tout ce qu’on peut faire ».

Passer chaque jour d’un monde où je côtoyais sportifs, stars, diplomates, hommes d’affaires richissimes à un monde où je côtoyais des gens luttant pour vivre au point de devoir emprunter quelques centimes pour acheter du pain m’a appris à voir la vie sous plusieurs angles et à relativiser.

Le fait d’être le seul jeune de moins de 25 ans à des kilomètres à la ronde et de travailler à des horaires irréguliers m’a parfois fait souffrir de la solitude : les quelques livres que j’avais apportés ont vite été terminés, et capter le wi-fi requérait autant d’inventivité que de démultiplier les fonctionnalités de mon étendoir à linge 🤔 – notez que cette phrase n’a absolument aucun sens sortie de son contexte.

Parfois, j’avais la chance d’être seul sur une magnifique plage (bondée en haute saison), j’ai observé des couchers de soleil absolument somptueux.

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Ces moments m’ont permis de beaucoup réfléchir sur la personne que je suis, de me remettre en question, de passer en revue mes qualités comme mes défauts.

Dès que l’unique jour de repos dont disposaient mes collègues correspondait avec l’un de mes deux jours de repos (en tant que stagiaire j’avais le privilège de disposer de deux jours de repos), je passais du temps avec eux, installé à la terrasse d’un des seuls cafés du coin. L’île Sveti Stefan se situe à proximité d’une montagne, la ville la plus proche, Budva se situe à plusieurs kilomètres. On a vite fait de se retrouver isolé sans voiture car les routes ne sont pas praticables à pied et les bus passent quand ils l’ont décidé (d’ailleurs certains chauffeurs conduisent sans permis ). Cet éloignement me contraignait à marcher de longues minutes avant de trouver une épicerie où acheter du pain ou quelques fruits. Mon côté Breton (têtu) m’a d’ailleurs poussé à boycotter l’une des seules épiceries de la zone. La vendeuse était on ne peut plus désagréable avec moi.

Au fil du temps j’ai fini, d’une part par acquérir quelques rudiments de Monténégrin (langue officielle du pays depuis son indépendance en 2006), et par me faire des amis parlant assez bien anglais pour pouvoir non seulement plaisanter avec moi, mais surtout pour pouvoir m’expliquer l’histoire complexe et la culture de leur pays. Ils me l’ont assuré : le gouvernement m’avait probablement fait suivre, là bas tout se sait. Ce pays est encore aujourd’hui gouverné à la manière d’une dictature (officiellement il s’agit d’une démocratie). Comme dans d’autres pays, on s’aperçoit que des personnes n’étant plus de ce monde ont réussi à voter pour réélire le président.

J’ai également profité de mon séjour au Monténégro pour explorer le pays (Podgorica, la capitale, mais aussi Kotor et sa baie, la ville des chats, site classé au patrimoine mondial de l’Unesco) et la Croatie.

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Le lac de Skadar, parc national situé à proximité de l’Albanie

 

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Le Monténégro, un pays où mer, forêt et montagne ne sont jamais loin les uns des autres

L’avantage de travailler dans un palace lorsque l’on est très sociable, c’est que l’on peut sympathiser avec des cuisiniers d’excellence, habitués à cuisiner pour des présidents. J’ai un jour été invité à déjeuner chez l’un de ces cuisiniers. Je n’oublierai jamais le repas gargantuesque qu’il ma cuisiné (des pâtes maison, du poisson extra frais, de nombreux accompagnements et des sauces qui devraient presque être considérées comme des drogues 🤔).

Autre avantage à travailler dans un palace avant la haute saison, c’est à nous que l’on propose de tester les nouveaux massages qui seront bientôt proposés aux clients. Sympa non ?

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Si vous êtes un amoureux de la nature et/ou un fan de sport, le Monténegro saura vous ravir ! Je vous conseille de vous rendre à Skadar, à Budva et à Kotor. Les paysages vous feront tourner la tête. Côté culture, je vous recommande la visite des monastères Cetinje et le musée archéologique de Budva. Le gros point faible de ce pays est son manque d’infrastructures mais le tourisme se développe de plus en plus et le Monténégro reste une destination très abordable. Vous pourriez profiter de votre visite en Croatie pour aller faire un tour au Monténégro (ou inversement). Il existe également des liaisons en bateau à des prix très intéressants pour rallier le pays depuis le sud de l’Italie (Bari).

Si vous faites un tour à Budva, ne manquez pas de manger un délicieux Gyros kebab (aussi bons qu’en Grèce), ils ne coûtent que 3 € sur la fête foraine/le marché de Skolijere – légumes frais, sauce maison, c’est un véritable délice. Goûtez aussi les Palacinke (des crêpes aussi larges que les crêpes Bretonnes mais aussi épaisses que des pancakes, je salive rien que d’y repenser).

 

 

 

Le rapport que les Monténégrins ont à la nourriture est assez particulier. Beaucoup d’entre-eux ont connu la faim pendant les guerres. Ils ont désormais peur de manquer et mangent énormément lorsqu’ils sont en famille (je n’ai pas eu de mal à m’intégrer lorsque j’ai été invite à manger chez un ami).

Allez puisque je suis lancé sur le sujet je vous présente une modification génétique de la pizza, la pizza remasterisée, mesdames et messieurs sous vos yeux ébahis (ou pas), je vous demande d’accueillir la pizza sandwich (une pizza recouverte d’une seconde couche de pâte, un hybride entre pizza et calzone. Mon amour inconditionnel pour les pizzas Italiennes me force à comparer et je suis assez déçu du goût tout en étant amusé par cette petite modification.

pizzasandwich

En ce qui concerne la nourriture, j’ai été relativement frustré par deux choses à ce sujet :

  • il n’existe pas de cuisine traditionnelle, les Monténégrins mangent Turc (le pays faisait partie de l’empire Ottoman), Italien, Serbe, Grec … mais pas Monténégrin à proprement parler. Pour la petite anecdote ils sont totalement réfractaires aux fast food Américains : le seul Mac Donald qui a ouvert dans le pays a fermé au bout de deux mois car les clients étaient trop rares.
  • Les Monténégrins se serrent les coudes, ils ne connaissent que trop bien la définition du mot solidarité -> remercier quelqu’un pour quelque chose qu’il vous offre de bon cœur est perçu comme une gêne voire une offense faite à celui qui vous a tendu la main, invité chez lui, hébergé … j’ai dû me mordre les lèvres un certain nombre de fois pour arrêter de dire : « Hvala » (merci). On me le reprochait souvent : « mais arrête de nous remercier, tu es notre ami, notre frère, notre maison est la tienne ». Certes, je suis habitué à voyager dans des pays pauvres (Maroc, Inde), je suis également habitué à loger chez les gens au fil des amitiés nouées sur la route ou en Couchsurfing , mais cela ne m’empêche pas de me sentir reconnaissant lorsque la mère d’un ami Monténégrin me loge, me nourrit et va jusqu’à laver et plier mon linge en mon absence ! Impossible de dire merci sans me faire reprendre à l’ordre. Je n’oublierai jamais la gentillesse de ces gens.

J’ai le plaisir de découvrir chaque mois que des lecteurs francophones ou des français en voyage lisent mon blog depuis un certain nombre de pays ; si jamais un Monténégrin comprend cet article, j’aimerais lui confier un secret, le trocadero, le vrai est à Paris, pas à Budva 😉.

Budva_Trocadero

Je vous conseille d’aller au Monténégro si :

  • Vous aimez la nature, les beaux paysages, la photographie
  • Vous aimez découvrir un pays avant qu’il ne soit inondé de touristes
  • Vous vous intéressez à la culture et à l’histoire des Balkans
  • Vous êtes sportif (le Monténégro est un paradis pour les sportifs, il y a de nombreuses possibilités de découvrir le pays en marchant, en courant, en faisant du VTT, de l’escalade, du rafting, du parapente)
  • Vous avez un petit budget mais envie d’aventure et de dépaysement
  • Vous êtes un fêtard (Budva propose un springbreak, des boat parties, de nombreuses discothèques où mixent de célébrissimes DJ comme Avicii – Top Hill)

Je vous déconseille de vous y rendre si :

  •  le manque de fiabilité des transports vous fait peur
  •  le manque d’infrastructures de tourisme vous déplait
  •  le nombre de musées intéressants est l’un de vos critères pour choisir une destination

Quant à moi, voici ce que j’ai retiré de cette expérience :

  • des connaissances que je ne possédais pas (ex: l’histoire de l’ex Yougoslavie)
  • des amis avec qui je suis toujours en contact
  • des souvenirs incroyables
  • des rudiments de Serbe
  • des contacts professionnels au sein du groupe hôtelier Aman Resort
  • une certaine maturité et une capacité d’analyse
  • un sens de la débrouillardise accru

Quand tout va bien pour moi je repense songeur à ces souvenirs heureux.

rec20140627_163704 - Copie

Quand la vie et mes projets ne s’accordent pas et que je connais des moments difficiles je souviens de tout ce que j’ai déjà traversé si jeune et je me dis que c’est ma capacité à ne rien abandonner et à vouloir toujours apprendre plus qui me tirent vers le haut.

Je suis retourné au Monténégro avec un ami en 2016, je souhaitais lui faire découvrir une partie de ce que j’avais vécu là-bas. Nous avons rendu visite à certains de mes amis (d’autres étaient partis vivre à l’étranger). Nous sommes retournés à Sveti Stefan et nous y avons été accueillis à bras ouverts. Ce fût un voyage riche en émotions.

Vous avez lu cet article en entier ?

Petit bonus : si vous vous rendez à Podgorica, rendez-vous dans le superbe pub Écossais : McCloud.

Demandez à parler à Jovan, le patron, dites que vous venez de la part de Maël, si vous êtes un lecteur de mon blog vous bénéficierez de réductions sur toutes vos consommations. Si vous êtes un ami proche, vous ne paierez pas grand chose de votre repas ni de vos boissons.

Et vous le Monténégro, vous connaissez ? N’hésitez pas à donner votre avis ou à poser des questions via les commentaires.

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Il est temps pour moi d’aller faire mon sac, bon voyage à tous et à bientôt sur le blog.

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2 Replies to “Réceptionniste dans un palace au Monténégro, une expérience inoubliable”

  1. J’ai beaucoup aimé ce récit d’expérience dans ce pays méconnu.
    Le fait d’être très différent donne envie d’en apprendre encore plus ! Une véritable soif.
    Je ne connais pas le Monténégro mais c’est une porte que tu m’a ouverte.
    Merci Mael.

    Aimé par 1 personne

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